Une histoire incroyable. Un écrivain brésilien, mathématicien de formation, écrivait des contes arabes qui se déroulent en Orient, à la façon des Mille et une Nuits.
De crainte que ses contes arabes... écrits par un... Brésilien.. ne soient jamais reconnus, il pris un pseudonyme, Malba Alban, en inventant un auteur qui n'avait jamais existé.
Ce personnage, un Persan, inventé de toute pièce, aurait vécu au 14 ème siècle de l'Hégire, son nom complet était Ali Yezzid Izz-Edin ibn-Salim Hanak Malba Tahan, et c'est sous ce pseudonyme que.... Júlio César de Mello e Souza publia ses contes.
Il a mystifié lecteurs et critiques durant une quinzaine d’années, entre 1925 et 1940.
De crainte que ses contes arabes... écrits par un... Brésilien.. ne soient jamais reconnus, il pris un pseudonyme, Malba Alban, en inventant un auteur qui n'avait jamais existé.
Ce personnage, un Persan, inventé de toute pièce, aurait vécu au 14 ème siècle de l'Hégire, son nom complet était Ali Yezzid Izz-Edin ibn-Salim Hanak Malba Tahan, et c'est sous ce pseudonyme que.... Júlio César de Mello e Souza publia ses contes.
Il a mystifié lecteurs et critiques durant une quinzaine d’années, entre 1925 et 1940.
Malba Tahan |
Pour moi tout est parti d'un texte, en portugais, que m'a envoyé un ami brésilien, je traduis ici en français :
"Un voyageur errant arrive dans une ville prospère et joyeuse. Sur la place principale, en face d'une mosquée, il se retrouve devant une statue représentant un calife. Mais ce qui attire son attention, ce n'est ni la perfection ni la richesse de la statue, c'est la vénération que lui voue les gens. Les gens en font le tour, font des révérence, joignent leurs mains et les yeux fermés, murmurent des prières à Allah.
"Dites-moi, qui est ce calife? Pourquoi tous le vénèrent-ils ainsi ?" a demandé le voyageur.
On lui a répondu : "Ah, notre bien-aimé calife Harun, que Allah soit avec lui ! Quand son père est mort, il a hérité du trône. Mais, il a reconnu son incapacité à régner, et craignant de nuir au bonheur de son peuple, à la paix et au progrès de son pays, il a abdiqué en faveur de son vizir, plus apte à gouverner que lui-même. Nous rendons hommage aujourd'hui encore à sa sagesse, sa générosité et sa liberté d'esprit."
Honneur et gloire CALIFA HARUN !(Conte merveilleux de Malba Tahan).
Malba Tahan... je ne connais pas... C'est mon ami Dilermando, du Brésil, qui me l'a fait découvrir. Et il me raconte :
"Des livres qui enflamment l'imagination et qui nous apprennent des lecons de vie. C'est mon père qui me les a donnés quand j'étais enfant, un merveilleux cadeau, toujours fièrement rangé dans ma bibliothèque."
Alors, j'enquête.
Malba Tahan, est le nom de plume de l'auteur brésilien Júlio César de Mello e Souza (1895 - 1974). Écrivain et professeur de mathématiques, Malba Tahan est bien connu au Brésil ainsi qu'à l'étranger pour ses livres de mathématiques récréatives et ses études sur la géométrie.
Il est l'auteur de 15 livres ayant pour thématique les Arabes, leurs légendes et leur civilisation.
"La géométrie existe partout. Il est nécessaire, cependant, d'avoir des yeux pour la voir, de l'intelligence pour la comprendre, et l'esprit pour s'en émerveiller."
"Le Bédouin voit des formes géométriques, mais ne les comprend pas. Le sunnite les comprend mais ne les admire pas. L'artiste, enfin, perçoit la perfection des chiffres, en comprend la beauté, en admire l'ordre et l'harmonie. Dieu a été lepremier grand géomètre. Il organisé le paradis et la terre." ― Malba Tahan, L'homme qui calculait
Pour ses livres, Júlio César de Mello e Souza a reçut le prestigieux prix de l'Académie brésilienne des lettres à l'occasion de sa 25 ème édition en 1972, et devint membre de l'Académie des lettres du Pernambouco.
Júlio César de Mello e Souza, mathématicien et auteur de contes arabes
Júlio César de Mello e Souza est né le 6 mai 1895 à Rio de Janeiro. Il a vécu à Queluz, une municipalité de l'état de São Paulo, et est mort à Recife le 18 juin 1974, victime d'une crise cardiaque.
Il était diplômé en génie civil à l'École Nationale du Génie mais il n'a jamais exercé cette profession. Sa grande passion a été d'enseigner les mathématiques au Collège Pedro II, où il a créé une nouvelle méthodologie pour rendre les choses plus intéressantes et facilement assimilables par les étudiants. Professeur à la Faculté d'architecture de l'Institut d'Education du District Fédéral (Brasilia) et enseignant au Collège D. Pedro II.
Cependant ce n'est pas au travers de cette activité qu'il a connu la notoriété. Et même pas avec son nom réel Julio César de Mello e Souza.
Bien qu'il ne soit pas Arabe et qu'il ne soit jamais allé au Moyen Orient, il a consacré sa vie à l'étude de la langue, de la philosophie, et de la Culture de la société arabe.
C'est ainsi que surgit le fameux pseudonyme : Ali Iezid Izz-Eduim Ibn Salim Hank Malba Tahan, ou simplemente Malba Tahan.
Ali Iezid Izz-Edim Ibn Salim Hank Malba Tahan
Quand Julio Cesar de Mello e Souza créa le pseudonyme de Malba Tahan, il n'a pas voulu seulement se trouver un pseudonyme, il voulait que le personnage paraisse bien réel, comme s'il avait véritablement existé.
Une mistification littéraire !
Ali Iezid Izz-Edim Ibn Salim Hank Malba Tahan, (selon la petite biographie écrite par Júlio César de Mello e Souza lui-même), était un célèbre écrivain arabe. Il naquit le 6 mai 1885 dans la péninsule arabique, dans le village de Muzalit, proche de La Mecque (probablement l'actuelle Muzahmiyya).
C'était un 'Sharif' (un descendant du calife Ali Ibn Abi Talib), et un 'hajj' (uu musulman qui avait fait le pèlerinage à La Mecque.
On raconte qu'il viva 12 ans à Manchester, en Angleterre, où son père était devenu un commercant prospère.
Quand son père cessa son activité, la famille alla habiter au Caire où ils connurent une vie confortable.
Malba Tahan étudia d'abord au Caire puis à Constantinople, où il s'installe avec son ami Beremiz Samir en l'an 1255 de l'Hegire, et où il termina ses études en Sciences Sociales.
Ses premiers essais littéraires datent de cette époque, et furent publiés en turc dans des journaux et des revues.
Il était encore très jeune quand il fut nommé par son ami l'émir Abd el-Azziz ben Ibrahim, maire de El Medina, une petite ville d'Arabie. Il y exerça ses fonctions avec intelligence et habileté. Il réussit aussi à solutionner des incidents entre des pèlerins et les autorités locales. Il apportait aussi son aide aux étrangers qui visitaient les lieux sacrés.
A l'âge de 27 ans, il reçut un héritage de son père qui lui permit de voyager à travers le monde. Il se rendit en Chine, au Japon, en Russie, en Inde, en Europe. Il y apprit les coutumes et les légendes de tous ces peuples. On dit qu'il aurait vécu un temps au Brésil.
Il mourut en juillet 1921, près de Riyadh, au cours d'une bataille, en luttant pour la liberté d'une tribu d'une région d'Arabie centrale.
Comment Júlio César devint Malba Tahan
Júlio César de Mello e Souza a créé ce personnage de Malba Tahan parce qu'il pensait qu'un auteur brésilien ne pourrait jamais attirer l'attention en écrivant des contes arabes.
Il s'est mis ensuite à étudier la culture et la langue arabe afin de pouvoir inventer la biographie de Malba Tahan, et pour que ses contes arabes soient convaincants en termes de style, de langage, d'ambiance.
Pour donner plus de véracité à l'histoire, il se créa aussi un traducteur imaginaire pour ses livres, le Professeur Breno Alencar Bianco. Les livres de Ali Iezid Izz-Edim Ibn Salim Hank Malba Tahan, auraient été écrits à l'origine en Arabe, et traduits en portugais par l'imaginaire Professor Breno Alencar Bianco.
Malba Tahan signifie "Le meunier de Malba", ou "Le meunier de l'oasis", Malba étant le nom d'une population du sud de l'Arabie, et 'Tahan" signifiant meunier. Mais le nom 'Tahan" était en vérité le nom de famille de l'une de ses élèves, Maria Zachsuk Tahan.
Dans une interview accordée à Silveira Peixoto et à Monteiro Lobato, citée dans le 3 ème volume de “Falam os Escritores” (1941), Júlio César de Mello e Souza raconte comment est né le pseudo de Malba Tahan :
“O caminho, então, seria tratar de escrever com um pseudônimo estrangeiro. Pensei mais sobre o caso. Qual o pseudônimo a adotar? Deveria ser um que tivesse todo cunho de realidade. Americano? Mas não. Queria um pseudônimo que se conformasse bem com o caráter dos trabalhos que pretendia escrever... Seria um árabe. - Por quê? - O árabe é homem que faz poesia a propósito de tudo. Suas atitudes sempre são romanescas. Não compreende a vida sem a poesia. Mas o pseudônimo não deveria ser nem masculino e nem feminino. Teria de ser sonoro. Teria de dar a necessária impressão de perfeita autenticidade.
Na Escola Normal, havia uma aluna com um sobrenome interessante: "Maria Tahan". Simpatizei-me com esse "Tahan". Perguntei-lhe que queria dizer. "Moleiro" - respondeu-me ela.
Fui, dias depois, descobrir num mapa da Arábia, o nome de uma cidade - Malba, aldeia perdida na Arábia Pétrea... - E nasceu Malba Tahan... - Que, como vê, pode ser traduzido por "moleiro de Malba".
Comecei, então, a estudar a civilização árabe. Li Gustavo Le Bon, comprei o Alcorão, numa edição comentada, percorri as obras de Massoudi. Tomei um professor de árabe: o dr. Jean Achar.
Tempos depois, quando já havia me enfronhado nas coisas do Oriente, procurei Irineu Marinho, a esse tempo um dos diretores de A Noite. Apresentei-lhe uns trabalhos de Malba Tahan. Disse-lhe que se tratava de um escritor árabe; acentuei que eu apenas havia traduzido alguns de seus trabalhos.”
Na Escola Normal, havia uma aluna com um sobrenome interessante: "Maria Tahan". Simpatizei-me com esse "Tahan". Perguntei-lhe que queria dizer. "Moleiro" - respondeu-me ela.
Fui, dias depois, descobrir num mapa da Arábia, o nome de uma cidade - Malba, aldeia perdida na Arábia Pétrea... - E nasceu Malba Tahan... - Que, como vê, pode ser traduzido por "moleiro de Malba".
Comecei, então, a estudar a civilização árabe. Li Gustavo Le Bon, comprei o Alcorão, numa edição comentada, percorri as obras de Massoudi. Tomei um professor de árabe: o dr. Jean Achar.
Tempos depois, quando já havia me enfronhado nas coisas do Oriente, procurei Irineu Marinho, a esse tempo um dos diretores de A Noite. Apresentei-lhe uns trabalhos de Malba Tahan. Disse-lhe que se tratava de um escritor árabe; acentuei que eu apenas havia traduzido alguns de seus trabalhos.”
— Julio Cesar de Mello e Souza
Ses oeuvres
Júlio César de Mello e Souza, Malba Tahan, a publié au long de sa vie près de 120 livres (dont 69 contes et 51 de mathématique et de littérature enfantine et juvénile) dont les tirages ont atteint plus de deux millions d'exemplaire.
Les ouvrages les plus célèbres de Júlio César, sont "L’Homme qui calculait (1938)", et des recueils de problèmes, de puzzles et de curiosités mathématiques, sous forme de contes inspirés par les Mille et Une Nuits.
Les ouvrages les plus célèbres de Júlio César, sont "L’Homme qui calculait (1938)", et des recueils de problèmes, de puzzles et de curiosités mathématiques, sous forme de contes inspirés par les Mille et Une Nuits.
Des contes arabes
Son premier livre - Les Contes de Malba Tahan - a été publié en 1925. A la première page apparaît une illustration, l'image d'un Arabe, portant turban et longue barbe blanche, en train d'écrire.
Ainsi, durant de nombreuses années, le public a cru que cet Arabe, portant turban et longue barbe blanche, était Malba Tahan, l'auteur.
Ainsi, durant de nombreuses années, le public a cru que cet Arabe, portant turban et longue barbe blanche, était Malba Tahan, l'auteur.
L'homme qui calculait
"O homem que calculava" est son oeuvre la plus célèbre. Plus de 40 éditions.
Cete histoire est censée avoir été écrite au cours du mois de Ramadan de l'année 1321 de l'Hégire, ce qui correspondrait à Novembre 1903.
Dans un style des Mille et une Nuits, Malba Tahan y raconte l'histoire d'un mathématicien persan, Beremiz Samir, en voyage à Bagdad, qui au cours de ses pérégrinations dans le désert, découvre d'étonnantes façons de résoudre les problèmes mathématiques.
Dans un style des Mille et une Nuits, Malba Tahan y raconte l'histoire d'un mathématicien persan, Beremiz Samir, en voyage à Bagdad, qui au cours de ses pérégrinations dans le désert, découvre d'étonnantes façons de résoudre les problèmes mathématiques.
Quelques extraits
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"L'homme trop taciturne déplaît à son entourage ; mais le bavard lasse ou énerve ses proches. {…}
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Il était une fois un vieux marchand qui vivait à Téhéran, en Perse. Un jour, il fit venir ses trois fils auprès de lui pour leur annoncer : "Mes chers enfants, je veux vous proposer une récompense. Celui d'entre vous qui réussira à passer une journée sans prononcer de mots inutiles gagnera vingt-trois tomans."
Le soir, les jeunes gens se rendirent auprès de lui. "Père, affirma le premier, aujourd'hui je n'ai employé aucun mot superflu. J'espère donc mériter (selon votre engagement) la récompense promise et qui, comme vous devez vous en souvenir, se monte à vingt-trois romans."
Le deuxième fils s'approcha de l'ancien, lui baisa les mains et lui dit seulement : "Bonne nuit, mon père."
Le plus jeune ne prononça pas un seul mot, aborda le vieil homme et tendit seulement la main pour recevoir l'argent.
Le marchand, ayant observé l'attitude de ses trois garçons, déclara : "Le premier d'entre vous, en arrivant devant moi, m'a agacé en employant plusieurs mots inutiles. Le troisième s'est montré beaucoup trop laconique. J'attribuerai donc la prime au deuxième, qui s'est montré discret et s'est exprimé simplement, sans verbosité ni affection."
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"Les mathématiques, Mademoiselle, qui enseignent à l'homme à être simple et modeste, sont à la base de toutes les sciences et de tous les arts.
J'illustrerai cette assertion par le récit d'un épisode de la vie d'un célèbre roi yéménite.
Asad Abou Karib, roi du Yémen, faisait parfois la sieste dans la grande véranda de son palais. Un jour, il rêva que sept jeunes filles marchaient dans le désert. Epuisées et mourant de soif, elles furent obligées de faire une pause sous le soleil accablant. Soudain, une belle princesse apparut, s'approcha des voyageuses et leur présenta une grande cruche remplie d'eau pure et fraîche.(...)
A son réveil, impressionné par ce rêve mystérieux, Asad Abou Karib convoqua un astrologue célèbre, du nom de Sanib, et lui demanda de lui expliquer le sens de la scène à laquelle lui, roi puissant et juste, venait d'assister dans le monde des Visions et Fantasmagories.
"Maître, lui répondit alors Sanib l'astrologue, les sept jeunes filles qui marchaient dans le désert sont les arts divins et les sciences humaines : la peinture, la musique, la sculpture, l'architecture, la rhétorique, la dialectique et la philosophie. L'obligeante princesse qui est venue à leur secours symbolise la grande et prodigieuse mathématique. Sans l'aide de la mathématique, poursuivit le sage, les arts ne peuvent progresser et toutes les autres sciences périclitent."
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Il conclut avec enthousiasme:
"Macha Allah! Quelle merveille! Ce jeune homme me semble très savant et fort habile en matière de calculs. De plus, il s'est montré généreux envers son compagnon et ami. Je veux qu'il devienne, dès aujourd'hui, mon secrétaire particulier!
- Ô puissant vizir, répondit l'homme qui Calculait, je vois que vous venez de m'adresser, en 40 mots et 190 lettres, le plus bel éloge que j'aie jamais entendu. Pour vous remercier, je vais être obligé d'employer au moins 59 mots qui forment un total de 288 lettres, soit presque le double. Qu'Allah vous bénisse et vous protège!".
En entendant ces dernières paroles, nous fûmes tous émerveillés par sa subtilité et son talent extraordinaires. Ainsi, le Calculateur Prodige était même capable de compter les mots et les lettres d'une phrase qu'il venait d'entendre ou qu'il était en train de formuler !
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"Libérez les oiseaux!" répéta le cheikh en agitant sa main couverte de bagues étincelantes.
Les hautes portes du grillage métallique s'ouvrirent. Par groupes ou par paires, les captifs quittèrent leur prison et s'éparpillèrent dans les frondaisons du jardin.
"Chaque oiseau qui déploie ses ailes est comme un livre à deux pages qui s'ouvre dans le ciel. Quel horrible crime de piller ou de détruire cette bibliothèque miniature créée par Allah!" -- o homem que calculava
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"Certains philosophes se trompent lourdement lorsqu'ils considèrent que la femme possède des capacités intellectuelles limitées. Son intelligence, quand elle est bien orientée, peut parfaitement comprendre les beautés et les secrets de la science ! Il serait facile de réfuter les jugements erronés et injustes émis par ces religieux, car nous connaissons plusieurs exemples de femmes ayant fait preuve d'une prodigieuse culture mathématique."
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Traduit en plusieurs langues, en Espagne, aux Etats unis, en Allemagne.
Sa vie et son travail ont fait l'objet d'une parution dans la prestigieuse revue Science (USA, septembre 1993.). Son importance dans l'histoire de la littérature et de l'éducation au Brésil est incontestable ayant été lu, acclamé et reconnu par des générations entières ces 70 dernières années.
En 1952, le président de la République Getúlio Vargas publia un décret officiel qui a permis au citoyen Júlio César de Mello e Souza l'utilisation légale du pseudonyme de Malba Tahan. Et ce nom figura alors sur sa carte d'identité.
Malba Tahan est aux côtés de Sam Loyd, Yakov Perelman et Martin Gardner, l'un des plus importants vulgarisateurs des mathématiques dans le monde entier.
L'oeuvre de Malba Tahan est aujourd'hui classique et d'actualité. Il y est toujours possible d'y trouver aujourd'hui des réponses, des investigations, des réflexions, sur les problèmes actuels de l'enseignement au Brésil notamment dans l'enseignement des mathématiques.
En 1995, en hommage à Malba Tahan, pour le centenaire de sa naissance - 6 mai - la Chambre municipale de la ville de São Paulo et l'Assemblée législative de l'État de Rio de Janeiro ont décidé de la création d'un "Jour des Mathématiques" quisera commémoré chaque 6 Mai au travers d'événements, de recherches, de fêtes, de théâtre, de conférences, d'expositions dans les lieux scolaires.
Malba Tahan est devenu le nom d'une école de Rio de Janeiro, d'une école municipale à São Paulo et d'une bibliothèque à São Bernardo do Campo (Etat de São Paulo).
Malba Tahan est aux côtés de Sam Loyd, Yakov Perelman et Martin Gardner, l'un des plus importants vulgarisateurs des mathématiques dans le monde entier.
L'oeuvre de Malba Tahan est aujourd'hui classique et d'actualité. Il y est toujours possible d'y trouver aujourd'hui des réponses, des investigations, des réflexions, sur les problèmes actuels de l'enseignement au Brésil notamment dans l'enseignement des mathématiques.
En 1995, en hommage à Malba Tahan, pour le centenaire de sa naissance - 6 mai - la Chambre municipale de la ville de São Paulo et l'Assemblée législative de l'État de Rio de Janeiro ont décidé de la création d'un "Jour des Mathématiques" quisera commémoré chaque 6 Mai au travers d'événements, de recherches, de fêtes, de théâtre, de conférences, d'expositions dans les lieux scolaires.
Malba Tahan est devenu le nom d'une école de Rio de Janeiro, d'une école municipale à São Paulo et d'une bibliothèque à São Bernardo do Campo (Etat de São Paulo).
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